8 heures : le téléphone sonne ; "bonjour, c'est le poste de sécurité, votre camion de déménagement est arrivé". Je viens au devant des déménageurs. Ceux-ci sont au nombre de deux et m'annoncent que le container doit arriver vers 10h00. Zut, on l'attendait pour 14h00, du coup la tension monte d'un cran. Il me reste encore quelques cartons à finir dans la cave...
L'équipe de déménageur jette un rapide coup d'oeil pour évaluer le travail restant à faire ; pas de problème tout devrait être terminé pour midi. Pendant que je finalise les derniers cartons, les déménageurs emballent quelques bricoles et descendent au rez de chaussée de l'immeuble la centaine de colis.
Malgré plusieurs tentatives pour optimiser le rangement de tous les cartons dans le container, le chef déménageur doit se résoudre à fabriquer une mezzanine qui surplombera le capot de la 206. Quatre planches et trois coups de tronçonneuse plus tard, voilà notre mezzanine installée.
Dernière étape : le déménageur fait venir une dépanneuse pour faire monter la voiture dans le container. En quelques minutes la "titine" est hissée dans la boite où elle va séjourner 1 mois et demi. Il ne reste plus qu'à caler soigneusement les roues.
Et voilà, tout est dans le container, du moins on l'espère car les portes se referment et ne s'ouvriront à nouveau qu'au mois d'août et à 8.000 km de là.
Il est 13h00, nous remplissons les documents administratifs de rigueur et je remets au responsable un gros chèque de presque 6.000 €uros en règlement du déménagement. Heureusement que tout cela est pris en charge par la Gendarmerie.
La première partie de notre déménagement vient de s'achever et nous allons pouvoir souffler, rendez-vous fin juillet pour le repli.